Allergie respiratoire d’un enfant : les signes qui ne mentent pas

L’allergie respiratoire débute par des signes bégnines mais particulièrement gênants et amenuise la qualité de vie de l’enfant. En général, elle atteigne la plupart des enfants et survient chaque saison de l’allergène. En effet, on attrape facilement ces allergènes, car l’appareil respiratoire s’ouvre de l’extérieur et les aspire via le nez ou la bouche. Les symptômes sont plus évidents que d’autres maladies. Permettez-nous de vous éclairer.

Dix signes d’allergie respiratoire indéniables

Le système respiratoire débute par le nez et descend vers les poumons. Ce n’est pas pourtant rare que les premiers symptomes d’alllergie arrivent à faire réagir d’autres parties comme les yeux. Voici les essentiels à considérer :

  • Écoulement nasal de type très fluide et presque transparent au début ;
  • Difficulté à respirer faute d’une congestion nasale, sans témoigner des signes de fièvre ;
  • Le palais qui démange ;
  • Les croûtes de nez surviennent souvent ;
  • Des symptômes similaires au rhume : éternuement, toux sèche évoluant parfois à une toux grasse ;
  • Des symptômes qui indiquent le début d’un asthme : toux, difficulté respiratoire ;
  • Des gestes fréquents : cure le nez, se frottent les yeux
  • Des rougeurs aux yeux avec des soupçons de démangeaison suivie des écoulements ;
  • Visage fatigué avec des poches sous les yeux et ;
  • Ronfle au sommeil et a parfois du mal à dormir ou vit des nuits agitées.

Seul un médecin peut cependant conclure sur l’allergie et notamment ses spécifications. Dès que ces signes apparaissent, mieux vaut consulter.

Ce qu’il faut savoir d’une allergie respiratoire

Les réactions immunitaires sont différentes d’une personne à une autre. Les allergies s’adressent particulièrement à celles les plus fragiles, ce qui expliquent le cas des enfants. Pour cause, la présence d’un certain taux d’allergène déclenchera toujours ces signes dits « réactions allergiques », il est ainsi essentiel de traiter les problèmes à la source via la réduction des « foyers d’allergènes ». Les médecins conseillent moins le recours à des traitements médicaux bien que ce n’est pas à écarter si les symptômes deviennent de plus en plus graves.

Les types les plus connus des allergènes sont les suivants :

  • Les poussières et notamment les acariens ;
  • Les moisissures résultant d’une humidité permanente ;
  • Les poils d’animaux et les excréments : chats, chiens) ;
  • Les pollens (rhume des foins).

Il convient ainsi d’adopter certains gestes comme le nettoyage et des lessives périodiques et réguliers, éviter de vivre à proximité des animaux, l’aération naturelle de la maison, le changement de matelas ou l’adoption des couvertures ou housses antiacarienne. Il est ainsi logique que l’on soit tenté de déduire une hérédité puisque des familles vivantes sous le même toit ou adoptant les mêmes modes de vie pourront y être assujetties.

Notez qu’il y a une discipline médicale exclusive aux allergies, le spécialiste est ainsi appelé « allergologue ». Il a pour rôle d’identifier le type d’allergène, de prescrire des solutions de nettoyage nasales ou même de recommander un traitement de désensibilisation.